Un texte de Christian RULLIER
Avec Catherine MARQUES et Didier TIBERI
Mise en scène de Mohamed MOUAFFIK
C’est le long monologue d’une femme qui s’épanche dans une chambre et c’est à nouveau la voix d’une femme qui dit, crie sa souffrance, sur scène, faute d’avoir pu se faire entendre ailleurs, celle d’un « corps écrasé vaincu anéanti » parce qu’elle veut encore « accomplir quelque chose d’important », « laisser une trace ».
Cette pièce s’inscrit dans le prolongement de cette parole donnée aux femmes par l’auteur, du moins aux femmes qui ont souffert à cause des hommes, par eux ou pour eux, c’est l’un des principaux objectifs que poursuit Rullier dans sa création théâtrale.